Vie de Caligula (XXXI à XXXVIII)

Document PDF à télécharger Caligula, participant actif aux forums de langues anciennes, est l'auteur de la traduction qui t'est présentée sur cette page.
La Vie de Caligula est téléchargeable dans une version PDF PDF pour en faciliter la consultation et l'impression.
 
[XXXI] Queri etiam palam de condicione temporum suorum solebat, quod nullis calamitatibus publicis insignirentur ; Augusti principatum clade Variana, Tiberi ruina spectaculorum apud Fidenas memorabilem factum, suo oblivionem imminere prosperitate rerum ; atque identidem exercituum caedes, famem, pestilentiam, incendia, hiatum aliquem terrae optabat.
[31] Il avait aussi l'habitude de se plaindre ouvertement de la situation de son époque, parce que aucune catastrophe publique ne la distinguait ; le principat d'Auguste fut rendu mémorable par le désastre de Varus, celui de Tibère par l'écroulement des gradins à Fidènes, et le sien était menacé d'oubli du fait de sa prospérité ; et sans cesse il souhaitait des défaites militaires, une famine, une épidémie, des incendies, un tremblement de terre.
[XXXII] Animum quoque remittenti ludoque et epulis dedito eadem factorum dictorumque saevitia aderat. Saepe in conspectu prandentis vel comisantis seriae quaestiones per tormenta habebantur, miles decollandi artifex quibuscumque e custodia capita amputabat. Puteolis dedicatione pontis, quem excogitatum ab eo significavimus, cum multos e litore invitasset ad se, repente omnis praecipitavit, quosdam gubernacula apprehendentes contis remisque detrusit in mare. Romae publico epulo servum ob detractam lectis argenteam laminam carnifici confestim tradidit, ut manibus abscisis atque ante pectus e collo pendentibus, praecedente titulo qui causam poenae indicaret, per coetus epulantium circumduceretur. Murmillonem e ludo rudibus secum battuentem et sponte prostratum confodit ferrea sica ac more victorum cum palma discucurrit. Admota altaribus victima succinctus poparum habitu elato alte malleo cultrarium mactavit. Lautiore convivio effusus subito in cachinnos consulibus, qui juxta cubabant, quidnam rideret blande quaerentibus : « quid », inquit, « nisi uno meo nutu jugulari utrumque vestrum statim posse ? »
[32] Cette même cruauté était aussi présente dans ses actes et ses mots quand il se reposait, jouait ou banquetait. Souvent en sa présence dans ses repas ou ses festins, des questions sérieuses étaient débattues tandis qu'on torturait et qu'un soldat expert en décapitation coupait des têtes de prisonniers. À Pouzzoles, pendant la dédicace du pont, dont nous avons expliqué pourquoi il y avait songé, il invitait beaucoup de gens à venir jusqu'à lui depuis la plage, et tout à coup les fit rejeter par dessus bord ; ceux qui se raccrochaient aux gouvernails, il les fit déloger à coups de rames et de gaffes. À Rome, lors d'un banquet public, comme un esclave avait arraché aux lits leur lamelle d'argent, il le livra aussitôt au bourreau, pour qu'il lui fît faire le tour des tablées de convives, précédé d'un écriteau qui indiquait la raison de son supplice, les mains coupées, accrochées au cou et suspendues devant la poitrine. Un mirmillon d'une école de gladiateurs se battant contre lui aux baguettes et s'étant volontairement laissé terrasser, il le perça d'un coup de poignard en fer et se mit à courir comme les vainqueurs avec la palme. La victime amenée auprès de l'autel, retroussant son habit de sacrificateur, levant son maillet, il sacrifia le victimaire. Lors d'un banquet plutôt somptueux, il pouffa subitement de rire, les consuls, qui étaient attablés près de lui, lui demandèrent avec douceur pourquoi il riait : « Pourquoi ? » dit-il. « Mais parce qu'à un signe de ma part, vous pouvez être tous les deux égorgés à l'instant. »
[XXXIII] Inter varios jocos, cum assistens simulacro Iovis Apellen tragoedum consuluisset uter illi major uideretur, cunctantem flagellis discidit conlaudans subinde vocem deprecantis quasi etiam in gemitu praedulcem. Quotiens uxoris vel amiculae collum exoscularetur, addebat : « tam bona cervix simul ac jussero demetur ». Quin et subinde jactabat exquisiturum se vel fidiculis de Caesonia sua, cur eam tanto opere diligeret.
[33] Entre autres plaisanteries, s'étant mis debout à côté de la statue de Jupiter, il demanda au tragédien Appelle qui des deux lui semblait le plus grand ; comme celui-ci hésitait, il le fit frapper à coups de fouet en félicitant souvent la voix du suppliant d'être presque trop douce même parmi ses cris. À chaque fois qu'il posait un baiser sur le cou de sa femme ou d'une maîtresse, il ajoutait : « Une nuque si belle tombera dès que je l'ordonnerai ». Et aussi il proférait souvent qu'il chercherait à savoir de sa chère Caesonia, même sous la torture, pourquoi il l'aimait si fort.
[XXXIV] Nec minore livore ac malignitate quam superbia saevitiaque paene adversus omnis aevi hominum genus grassatus est. Statuas virorum inlustrium ab Augusto ex Capitolina area propter angustias in campum Martium conlatas ita subvertit atque disjecit ut restitui salvis titulis non potuerint, vetuitque posthac viventium cuiquam usquam statuam aut imaginem nisi consulto et auctore se poni. Cogitavit etiam de Homeri carminibus abolendis, cur enim sibi non licere dicens, quod Platoni licuisset, qui eum e civitate quam constituebat ejecerit ? Sed et Vergilii ac Titi Livi scripta et imagines paulum afuit quin ex omnibus bibliothecis amoveret, quorum alterum ut nullius ingenii minimaeque doctrinae, alterum ut verbosum in historia neglegentemque carpebat. De juris quoque consultis, quasi scientiae eorum omnem usum aboliturus, saepe iactavit se mehercule effecturum ne quid respondere possint praeter eum.
[34] Non moins par jalousie et par mesquinerie que par orgueil et cruauté, il critiquait l'humanité de presque toutes les époques. Il fit jeter bas et disperser les statues des hommes illustres transférées de la place du Capitole, à cause de son étroitesse, au Champ de Mars, et on ne put les remettre sur leurs inscriptions intactes et après cela, il interdit à tout homme vivant d'être représenté en statue ou en image sans son avis et son accord. Il pensa même à détruire les chants d'Homère, en disant : pourquoi ne lui serait-il pas permis, ce qu'on avait permis à Platon, qui l'aurait mis hors de la cité qu'il bâtissait ? Et il s'en est fallu de peu qu'il retirât de toutes les bibliothèques les ouvrages et les portraits de Virgile et de Tite Live, qu'il dénigrait l'un comme sans génie et de peu de savoir, l'autre comme bavard et peu exact en histoire. De même envers les jurisconsultes, comme pour mettre fin à toute utilité de leur science, il proclamait souvent qu'il ferait en sorte, par Hercule, qu'ils ne pussent donner des consultations indépendamment de lui.
[XXXV] Vetera familiarum insignia nobilissimo cuique ademit, Torquato torquem, Cincinnato crinem, Cn. Pompeio stirpis antiquae Magni cognomen. Ptolemaeum, de quo rettuli, et arcessitum e regno et exceptum honorifice, non alia de causa repente percussit, quam quod edente se munus ingressum spectacula convertisse hominum oculos fulgore purpureae abollae animadvertit. Pulchros et comatos, quotiens sibi occurrerent, occipitio raso deturpabat. Erat Aesius Proculus patre primipilari, ob egregiam corporis amplitudinem et speciem Colosseros dictus ; hunc spectaculis detractum repente et in harenam deductum Thraeci et mox hoplomacho comparavit bisque victorem constringi sine mora jussit et pannis obsitum vicatim circumduci ac mulieribus ostendi, deinde jugulari. Nullus denique tam abjectae condicionis tamque extremae sortis fuit, cujus non commodis obtrectaret. Nemorensi regi, quod multos iam annos poteretur sacerdotio, validiorem adversarium subornavit. Cum quodam die muneris essedario Porio post prosperam pugnam servum suum manumittenti studiosius plausum esset, ita proripuit se spectaculis, ut calcata lacinia togae praeceps per gradus iret, indignabundus et clamitans dominum gentium populum ex re levissima plus honoris gladiatori tribuentem quam consecratis principibus aut praesenti sibi.
[35] Il retira à chacun des plus nobles les vieilles distinctions de leurs familles, le torque à Torquatus, les cheveux à Cincinnatus, le surnom de Magnus à Cn. Pompée issu de cette antique lignée. Et Ptolémée, dont j'ai déjà parlé, qu'il fit venir hors de son royaume et qu'il reçut avec les honneurs, il le frappa subitement pour la seule raison qu'il avait constaté lors de jeux qu'il donnait que Ptolémée, à son arrivée, avait attiré sur lui les regards du public par l'éclat de son manteau de pourpre. Chaque fois qu'il rencontrait des gens avec de beaux cheveux, il les enlaidissait en leur faisant raser l'occiput. Il y avait un certain Aesius Proculus, fils d'un primipilaire, qu'on surnommait le Colosseros à cause de sa beauté et de sa haute taille ; lors d'un spectacle, on l'arracha d'un coup de sa place et il fut descendu dans l'arène où il dut affronter d'abord un Thrace puis un hoplomaque et comme il gagna les deux fois, on l'enchaîna sans attendre et, couvert de haillons, il fut mené de quartiers en quartiers, exhibé aux femmes, pour finir étranglé. Il n'y avait personne fût-elle de basse condition ou du dernier rang dont il ne dénigrât les avantages. Parce que le Roi de Nemus tenait son sacerdoce depuis de nombreuses années, il lui suborna un adversaire plus fort. Un jour de jeux, l'essédaire Porius après un combat heureux trop passionnément applaudi se mit à affranchir son esclave, Caligula bondit hors du spectacle au point qu'il marcha sur un pan de sa toge et descendit les marches tête la première en criant pris d'indignation : « le peuple maître des nations attribue plus d'honneur à un gladiateur pour une chose des plus futiles qu'aux princes divinisés ou qu'à lui-même, en sa présence. »
[XXXVI] Pudicitiae [neque suae] neque alienae pepercit. M. Lepidum, Mnesterem pantomimum, quosdam obsides dilexisse fertur commercio mutui stupri. Valerius Catullus, consulari familia juvenis, stupratum a se ac latera sibi contubernio ejus defessa etiam vociferatus est. Super sororum incesta et notissimum prostitutae Pyrallidis amorem non temere ulla inlustriore femina abstinuit. Quas plerumque cum maritis ad cenam vocatas praeterque pedes suos transeuntis diligenter ac lente mercantium more considerabat, etiam faciem manu adlevans, si quae pudore submitterent ; quotiens deinde libuisset egressus triclinio, cum maxime placitam sevocasset, paulo post recentibus adhuc lasciviae notis reversus vel laudabat palam vel vituperabat, singula enumerans bona malave corporis atque concubitus. Quibusdam absentium maritorum nomine repudium ipse misit jussitque in acta ita referri.
[36] Il n'a préservé ni sa pudeur ni celle d'autrui. On rapporte qu'il a aimé Marcus Lepidus, le pantomime Mnester et quelques otages avec qui il partagea des relations honteuses. Valerius Catullus, un jeune homme de famille consulaire, proclama à tous les échos qu'il l'avait souillé et qu'il s'était épuisé les reins dans cette union. En plus de l'inceste avec ses sœurs et de sa célèbre passion pour la prostituée Pyrallidis, il s'est rarement privé de femmes du plus haut rang. Généralement ils les invitait à sa table avec leurs maris, il les détaillait lentement et consciencieusement à la manière d'un maquignon quand elles passaient devant ses pieds, leur relevant même le visage de sa main, au cas où elles l'auraient baissé de honte ; puis il sortait de la salle à manger autant de fois qu'il en avait envie, s'éloignant avec celle qui lui avait le plus plu, peu après, de retour avec les signes tout frais de la débauche, il en faisait l'éloge ou le blâme en public, il en détaillait les qualités et les défauts physiques et sa façon de faire l'amour. Il imposa le divorce à quelques-unes au nom de leurs maris absents et ordonna d'enregistrer leur divorce dans les actes publics.
[XXXVII] Nepotatus sumptibus omnium prodigorum ingenia superavit, commentus novum balnearum usum, portentosissima genera ciborum atque cenarum, ut calidis frigidisque unguentis lauaretur, pretiosissima margarita aceto liquefacta sorberet, conuiuis ex auro panes et obsonia apponeret, aut frugi hominem esse oportere dictitans aut Caesarem. Quin et nummos non mediocris summae e fastigio basilicae Iuliae per aliquot dies sparsit in plebem. Fabricavit et deceris Liburnicas gemmatis puppibus, versicoloribus velis, magna thermarum et porticuum et tricliniorum laxitate magnaque etiam vitium et pomiferarum arborum varietate ; quibus discumbens de die inter choros ac symphonias litora Campaniae peragraret. In extructionibus praetoriorum atque villarum omni ratione posthabita nihil tam efficere concupiscebat quam quod posse effici negaretur. Et jactae itaque moles infesto ac profundo mari et excisae rupes durissimi silicis et campi montibus aggere aequati et complanata fossuris montium juga, incredibili quidem celeritate, cum morae culpa capite lueretur. Ac ne singula enumerem, immensas opes totumque illud Ti. Caesaris vicies ac septies milies sestertium non toto vertente anno absumpsit.
[37] Sa débauche de dépenses a surpassé les inventions de tous les prodigues, il inventa un nouvel usage des bains, de monstrueux genres de plats et de banquets, comme se laver dans des huiles parfumées froides et chaudes, boire une perle très précieuse dissoute dans du vinaigre, faire apporter aux convives des pains et des mets en or, répétant à l'envi qu'on est soit un clochard soit un César. Il fit même verser sur la plèbe pendant quelques jours du haut de la basilique Julia des sommes d'argent non médiocres. Il fabriqua aussi des Liburnes de dix aux poupes couvertes de bijoux, aux voiles bigarrées, avec une grande abondance de thermes et de portiques et même une grande variété de vignes et d'arbres fruitiers ; à bord desquelles il dînaît en plein jour au milieu des chœurs et des orchestres tout en longeant la Campanie. Dans la construction de palais et de villas, toute autre raison étant tenue pour secondaire, il ne désirait rien réaliser d'autre que ce qu'on prétendait irréalisable. Il fit donc jeter des digues dans une mer hostile et profonde, creuser des roches du plus dur silex, égalisa des champs à des montagnes par une terrasse, applanit des crêtes de montagnes par des fossés, et ce dans une rapidité incroyable, puisque tout retard était puni de mort. Et pour ne pas rentrer dans les détails, il dissipa ses immenses ressources et tout le bien de Tibère César évalué à deux milliards sept cents millions de sesterces en même pas un an.
[XXXVIII] Exhaustus igitur atque egens ad rapinas convertit animum vario et exquisitissimo calumniarum et auctionum et vectigalium genere. Negabat jure civitatem Romanam usurpare eos, quorum majores sibi posterisque eam impetrassent, nisi si filii essent, neque enim intellegi debere « posteros » ultra hunc gradum ; prolataque Divorum Iuli et Augusti diplomata ut vetera et obsoleta deflabat. Arguebat et perperam editos census, quibus postea quacumque de causa quicquam incrementi accessisset. Testamenta primipilarium, qui ab initio Tiberi principatus neque illum neque se heredem reliquissent, ut ingrata rescidit ; item ceterorum ut irrita et vana, quoscumque quis diceret herede Caesare mori destinasse. Quo metu injecto cum jam et ab ignotis inter familiares et a parentibus inter liberos palam heres nuncuparetur, derisores vocabat, quod post nuncupationem vivere perseverarent, et multis venenatas matteas misit. Cognoscebat autem de talibus causis, taxato prius modo summae ad quem conficiendum consideret, confecto demum excitabatur. Ac ne paululum quidem morae patiens super quadraginta reos quondam ex diuersis criminibus una sententia condemnavit gloriatusque est expergefacta e somno Caesonia quantum egisset, dum ea meridiaret. Auctione proposita reliquias omnium spectaculorum subjecit ac venditavit, exquirens per se pretia et usque eo extendens, ut quidam immenso coacti quaedam emere ac bonis exuti venas sibi inciderent. Nota res est, Aponio Saturnino inter subsellia dormitante, monitum a Gaio praeconem ne praetorium virum crebro capitis motu nutantem sibi praeteriret, nec licendi finem factum, quoad tredecim gladiatores sestertium nonagies ignoranti addicerentur.
[38] En conséquence ruiné et nécessiteux, il se tourna vers la rapine en un genre varié et très poussé de fausses accusations, ventes publiques et impôts. Il refusait qu'usurpassent juridiquement la citoyenneté romaine, ceux dont les ancêtres l'avaient obtenue pour eux et leurs descendants, sauf s'ils en étaient fils, car on ne devait comprendre « descendants » au-delà de ce degré. Il jugeait pour rien les pièces d'identités datées des divins Jules et Auguste en les disant vieilles et dépassées. Il prétendait que les déclarations de ceux qui s'étaient enrichis de n'importe quelle manière, même après le recensement, avaient été faites frauduleusement. Il fit annuler les testaments des primipilaires établis depuis les débuts du principat de Tibère, sous l'accusation d'ingratitude, parce qu'ils n'avaient rien laissé en héritage à Tibère et à lui, de même il cassa comme vains et sans valeur les testaments des autres destinés à n'importe qui qui nommerait César héritier. Cette crainte les ayant saisis, des inconnus le déclarèrent ouvertement héritier parmi leurs amis et des parents parmi leurs enfants, mais il les appelait des rigolos parce qu'après leur déclaration, ils continuaient à vivre et à nombre d'entre eux il envoya des bonbons empoisonnés. Il instruisait d'autres affaires de cette sorte, fixait d'abord la somme qu'il devait atteindre, et seulement après l'avoir obtenue il quittait la séance. Et ne pouvant pas supporter le plus petit retard, il condamna plus de quarante accusés, alors que leurs crimes étaient divers, en un seul procès et tout fier réveillant Césonia il lui dit qu'il avait beaucoup travaillé pendant qu'elle faisait sa sieste. À une vente aux enchères, il exposa et mit en vente ce qui restait de tous ses spectacles, donnant lui-même les prix et enchérissant à tel point que certains furent obligés d'acheter des choses à des prix énormes et ruinés s'ouvrirent les veines. On connaît l'affaire d'Aponius Saturninus qui s'était assoupi dans l'assistance, le commissaire priseur, averti par Caïus de ne pas oublier ce prétorien qui faisait de fréquents mouvements de tête, ne finit la vente qu'après lui avoir adjugé treize gladiateurs contre neuf millions de sesterces sans qu'il s'en rende compte.
 

Commentaires de Caligula

Paragraphe 31

Un chapitre court qui en dit long...

Paragraphe 34

La dernière phrase souligne le fait que c'est lui, et lui seul, qui fait et interprète la loi.

 

↑ Retour au haut de cette page

Pages connexes

← Retour au menu précédent

 


Les traductions et discussions qui sont proposées dans les Jardins de Lucullus font l'objet d'un travail commun et de débats sur les forums Usenet ; les discussions originelles sont archivées sur Google Groups. Les pseudonymes ou noms réels cités sur cette page sont ceux de certains des participants, que je remercie ici pour leur perpétuelle sympathie qui confère sans cesse aux forums une atmosphère chaleureuse.